100 ans
(conte revu et corrigé)
pour Emmarguerite
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Au début, pour ne pas dire au début du début mon zébu ( car Oscar, de même qu’un début a une fin, il a aussi et inévitablement un commencement, sur lequel on se plaît à spéculer à tout va la chansonnette et patati et patartO’thon 1° ( l’oeuf ou la poule ? Ma poule , that is ze coueschione !) ….
Donc au début du commencement de cette histoire à dormir debout, quand il n’y avait encore rien. RIEN! Rien de rien nom d’un chien. Nada! Que dalle ! ( au poil : au moins quand y’a rien que dalle nada de nada on risque pas de se marcher sur les pieds ou la queue, ou les pieds, dans le noir, c’est déjà ça c’est déjà ça ).
Rien donc. Rien à babord. Rien à tribord. Y’avait rien à se mettre sous la dent. Y’avait même pas de dent t’imagines! Rien, y’avait rien.
Ikikikikikikikikikikikikikikikikikikikikikikikikikikikikikikikikikikikikikikikikikikikikikikikikikikikikikikikikikiik 1—>
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Oh oui je sais je sais bien je sais rien ch’us con : l’vieux schnock, le grincheux plein de poils-là, le Dieu, on n’est pas (et plus) obligé d’y croire ; mais là , toute honte bue tu peux me croire, j’en ai besoin t’soin t’soin du sieur Le Dieu dans mon histoire-là.
Et donc ni ni deux, je t’l’invente Hop Hop Crac Boum Huuue je t’embrouille ni vu ni connu je t’ le sors de mon chapeau-là, comme un vulgaire lapin-là, par les oreilles.
Et le déjà vieux Dieu de ronchonner! ( pour un lapin, chapeau! ). Bon, primo c’est-y des façons-là de le sortir pour ainsi dire de l’anonymat et par les oreilles en plus! Non mais! Et secundo pour rien-là que dalle, vu qu’y a rien qu’y a même pas de soleil et des nanas tralalala y’a rien.
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