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L’homolibrius n’insiste donc pas et se le tient pour dit. Et il s’en va, rongeur, ruminer ( vieux naze peigne-cul abloqueux choucroute, patate enflure dindon gadouille … …) et il taille la route-là.
Chemin, faisant, alors qu’il ronchonne encore et approfondit son vocabulaire disons courant ( fiente crotte garouille serre-patins fumure limace-là pintade protozoaire crevure frotte-muraille panouche…) il vient à rencontrer un animal (au poil un ch’val! ).
- Fugue, dit-il en le saluant. Et en souriant très très largement à la Fernandel ( ça mange pas d’pain-là et c’est bon pour le bizness ).
- Fugue, répond le cheval, pas contrariant, ent’e deux foins.
- ça va?
- çha va là
- Eh éh c’est que tu m’as l’air d’être comme qui dirait un bon ch’val, pas vrai. Continue l’homme qui s’enhardit et condescendant flatte
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- Purée de noisettes, c’est que tu as de bien jolis sabots-là mon …( il alllait dire mon cochon, voire pire, mais il se reprend juste à temps, ouf gros louf Ah la vache il a eu chaud mon s….euh) …pote. Ouah le poil! trop la crinière! Génial le blair! Géant les 4 pattes-là! Et super costaud avec çà…
Le cheval laisse dire et toise le bipède beau parleur.( J’te vois venir du gland, si tu t’imagines qu’avec tes fadaises tu vas m’amadouer tu te peux te brosser, ouais tu t’ gourres grave-là, tu t’mets l’ doigt dans l’oeil-là. C’est Bibi qui t’l’dit, kéké-là! )
Cool! Qu’i fait le flatteur. Cool! Euh… je cherche un peu de vie. T’en aurais pas un chouïa en rab’ à m’filer des fois. C’est le Dieu-là tu sais qui m’envoie des fois que par hazard ….tu vois quoi…des fois-là…
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