uéquéquéquéquéquéquéquéquéquéquéquéquéquéquéquéquéquéquéquéquéquéquéquéquéquéquéquéquéquéquéquéqué
Le cheval, rassuré ( Ouf j’vais pas l’avoir su’ l’dos çulà et ma foi si y’a que çà pour lui faire plaisir…) :
- Ah! Si y’akça mon gars. Fallait le dire tout de suite….25? ça l’ fait?
- Génial mon pote! Top! Wouaouh t’es trop c…cool! Et l’homme de trépigner de joie sous l’oeil un brin narquois du ch’val (de Troie/ le loup dans la bergerie?).
Ils topent l’affaire dans le sac-là. Et se séparent non sans avoir échangé les banalités d’usage, la pluie et le beau temps, les élections et autre salades-là….
Ayant repris du poil de la bête-là, l’homme taille la route, pressé de faire ses comptes : bon 25 plus 25 voyiiiions ça nous fait euh voyions euh gna gna gna gna et je retiens mmmm…mmmm 50! Pômal pômal…( puis )… enfin quand j’dis pômal pômal c’est rin que dalle en fait peau de zob aouais! Remerde de ch’val! Va falloir allonger un peu
ouchouchouchouchouchouchouchouchouchouchouchouchouchouchouchouchouchouchouchouchouchouchouch 15—>
onconconconconconconconconcoconconconconconconconconconconconconconconconconconconconconconconconco
la sauce-là sinon ben sinon ça va faire carrément court-là! Hardi mon gars, hardi!
Il en veut. Il en veut, l’ambitieux envicieux, du bonus, du bodubonus!
On the road again donc. C’est ainsi, le Destin sans doute, que sa route croise celle d’un chien. Eh éh hé…
L’homolibrius se frotte les mains et déjà expert en com’, caresse le clébard dans le sens du poil commercial.
Oh! Le joli chien! Le joli chien-chien! Oh qu’il est mignon qu’il est beau oui oui oui le gentil toutou oui oui qu’il est beau ( limite gâteux-là )… etc…etc-là…
tsétsétsétsétsétsétsétsétsétsétsétsétsétsétstétsétsétsétsétsétsétsétsétsétsétsétstéstéstéstéstéstéstéstéstéstéstéstés 16—>