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lI en rajoute et en fait là aussi des tonnes le baise-cul, tant et si bien que le chien n’en peut plus et lui donne, trop heureux avec çà, sans barguiner, 25 années de vie ( 25 années de vie de chien d’économiser c’est déjà çà, c’est déjà çà ).
Trop c’est trop. Cette fois c’est l’homme qui manifeste sa joie : il bondit en tout sens, excité comme un pou qu’aurait trouvé la théorie de la frelativité.
Tout en faisant moults bonds dans tous les coins-là, il tâche de voir un peu combien ça lui fait-là 25 plus 25 plus 25 euh ouh la la ça fait ça fait mmmm mmmm ça fait mmmm ouais ça fait carrément 75-là!
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- Ouah ouaf? Fait le chien. Il en reprendrait bien lui aussi des flagorneries. Ouah ouah ouah…
Alors l’homme, du haut de son petit nuage-là, lui jette un regard presque reconnaissant, et comme il est vraiment de bon poil va jusqu’à le caresser à nouveau, avec force salamalecs.
- Ouah ouah…continue de plus belle le clébard-là qu’aurait bien voulu causer mais qu’avait pas un pet de vocabulaire.
Tous ces ouah-ouah-là ça finit et pas qu’un peu à taper sur le système-là de l’homolibrius ah que ça l’énerve bordèle ah que… Un peu collant-là l’ corniaud. Il se saisit d’un bâton et le jette au loin.
- Va chercher couillon, va chercher…
Le chien se précipite ventre à terre. Et l’homme en profite pour se tirer éh éh…C’est qu’il en veut…il en veut…il en veut
Pouffepouffepoufepouffepouffepouffepouffepouffepouffepouffepouffepoufpoufpoufpoufpoufpoufpoufpoufpoufp 18—>